Dans cette ville, la vie des habitants se construit autour de l'immense bassin d'eau, et, les maisons sur pilotis se développent à mesure que la population s'accroît. Le lac communiquant avec la mer, l'eau n'y est pas potable bien que le niveau de salinité varie avec les saisons. Les déchets liés au mode de vie sont déversés directement dans le lac par les habitants mais ce dernier reste préservé grâce à l'ensoleillement qui permet une désinfection naturelle. Les Ganvienou pratiquent ainsi la pêche et la pisciculture sur ce lac épargné par la pollution industrielle.

Ganvié la Venise de l'Afrique

Les masques africains traditionnels jouent un rôle important dans certains rituels et cérémonies traditionnels africains.
Aucune société humaine n’a ignoré le masque et celui-ci surgit dès le moment où l’homme accède à l’état de culture. De la Grèce antique à l’Amérique ancienne en passant par l’Asie et l’Océanie, les masques ont symbolisé les dieux, incarné la beauté et l’effroi, exprimé l’immanence et l’illusion mais aussi le calme, l’ordre et la sérénité. Il en fut ainsi des Gorgones dont parle Hésiode, des masques d’initiation du Péloponèse, des masques bugaku et nô du Japon, des masques barong de Java, des masques des Eskirno et des Indiens d’Amérique du Nord, des masques des Papou Orokolo de la Nouvelle-Guinée.
En Afrique Noire, continent célèbre depuis le début de ce siècle pour la richesse de son art, la sculpture des masques est une dominante majeure de l’art plastique. Le masque peut ici être considéré comme un phénomène artistique caractérisé par son ubiquité et la diversité de ses formes et styles.

@serge.t.h Collectionneur d’art africain 📸 @Stephane_bossart @emergent.art.space #masque #masqueafricain #collectionneurs #art #artist #photography #photographer

LE MASQUE SE RENCONTRE PARTOUT

Beninese photographer Stéphane Bossart has developed his art practice around social and cultural life in Africa.  Here he talks about his project focused on one of the stages along the historic Slave Route in the city of Ouidah.

Ouidah, a city located in the south of Benin, is known for the history of Voodoo culture and for its key role in the Atlantic slave trade from the 17th to the 19th century. It was a powerful sales and embarkation center for the Western slave trade, where enslaved people traversed a path marked out by stages before arriving at the "Door of No Return", where the ships were.

This route, now called the “Slave Route”, has seven main stages and four kilometers you can visit to go back in time and pay homage.

The Tree of Oblivion is one of its stages that I wanted to highlight with this project. The enslaved people had to turn around this tree a number of times before boarding the ships.

In accordance with Voodoo tradition, this was believed to make them amnesic. Once their past origins and cultural identities were "forgotten”,  they became malleable, without any desire to react or to rebel.

In this series of images combining digital photography and photoshop montage, I document and playfully recall the history of this Tree of Oblivion, which can still be visited today in the historic city of Ouidah. The men in the foreground represent the “kings, dignitaries, fetishists, wise men and slave traders” and, in reality, all people who have contributed to the slave trade and attended the ceremony.

The idea of these pictures taken in Ouidah is to illustrate the story in its originality and share this experience with the world, because many ignore this part of the story when we talk about slavery in Africa.

ABOUT THE ARTIST

Stéphane Bossart is a Beninese photographer who develops his practice around social and cultural life in Africa. After training in audiovisual and communication studies, he became a photojournalist. Attracted by documentation, discovery and personal encounters, he travels through different African countries in order to expose the many faces of the region. In parallel, he covers international sports and cultural events, developing his practice between Europe and Africa. His professional experience has allowed him to develop a series of artistic works that expose his personal vision of the African continent and, more particularly, of his country, Benin. The social relationships and ties within cities and communities, as well as historical and cultural heritage, are the driving force of his artistic research.

The Tree of Oblivion) | Benin, West Africa

 le fait que l'on ne veut pas se dépêcher, se presser, car on souhaite bien faire les choses et leur accorder le temps qu'elles méritent. Elle transmet aussi une notion de prudence sous-jacente.

Prendre le temps

Chacun de nous peut représenter une différence réelle et substantielle sur cette planète. En vous engageant personnellement dans une quète de la conscience et de l'inconscience, vous assumerez vraiment un rôle marquant dans la transformation du monde mais a la fin vous serez toujours vous meme,  Fidele à vos principes,valeurs, vos qualités comme vos defauts,je suis toujour la meme,




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Stéphane Bossart

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